CHAMPIONNAT EUROPE ÉQUIPES 2019
01-04 May, Birmingham
PHOTOS CÉRÉMONIE D OUVERTURE : https://photos.google.com/share/AF1QipP_3ZMNN7HxujISlp3dy6XjumRYzLMKxbROqNYPFQ0ym9CFyxAPTb0-_sWXYy84nA?key=bjRUVFU2ZnlwY3gwN3RaN29mZ1JzaDVfMmQ0elRn
PLACE 3/4
LA FRANCE FINIT 4ÈME
LES PHOTOS ICI
DEMI-FINALE
3ème match
2ème match
1er match
Afin de s’adapter à cette nouvelle donne, Renan Lavigne a composé un groupe de six joueurs, comme en 2015. « Trois raisons à cela, » explique-t-il. « Premièrement, on avait des incertitudes – qui sont en grande partie levées aujourd’hui – par rapport aux problèmes aux mollets de Mathieu Castagnet, et on a préféré intégrer le sixième joueur plutôt que de lui demander de se tenir prêt de son côté. Ensuite, ce groupe a vécu des choses très fortes l’année dernière et il était logique de rappeler tous ceux qui étaient là, d’autant que leurs résultats le justifiaient. Enfin, ils ont tous des qualités et des profils différents, ce qui me donnera plusieurs options en fonction des adversaires. Si je prends de l’exemple de l’Allemagne, on a moins de garantie de gagner en 1 et 2 que les années précédentes, et je pourrais donc choisir les numéro 3 et 4 qui selon moi ont le plus de chances de l’emporter. »
Pour se donner le maximum de chances, Renan Lavigne (en bas à gauche) a constitué un groupe de six joueurs : Marche, Serme, Crouin, Masotti, Castagnet et Aubert (Crédits photo : European Team Championship Divisions 1&2 2018, Seynod Annecy Squash, FFSquash, Salming)
Membres incontournables de l’équipe, Grégoire Marche, Mathieu Castagnet et Lucas Serme restent tous les trois sur une défaite prématurée lors de leur dernier tournoi sur le circuit PSA. Un problème en vue du championnat d’Europe ? « C’est toujours préférable d’arriver en confiance, » admet Lavigne. « Mais on sait qu’il y a des phases dans une saison, et la leur reste satisfaisante. Concernant Grégoire, il vient d’intégrer le top 20 mondial et doit assumer ce nouveau statut. Quant à Lucas, il était très déçu après sa défaite à El Gouna et a très envie de se racheter. Je n’ai aucun doute sur leurs capacités et leur volonté à tout donner pour l’équipe. » Derrière ces trois titulaires indiscutables, il restait trois places pour cinq jeunes joueurs, très proches au classement et ciblés par la Fédération comme représentant l’avenir du squash hexagonal. Baptiste Masotti, Victor Crouin et Benjamin Aubert ont été retenus, pas Auguste Dussourd et Sébastien Bonmalais. « Ils font néanmoins totalement partie du projet, » précise Lavigne. « Seb a connu une période difficile, mais est en train d’en sortir. Quant à Auguste, il a très peu joué sur le circuit entre novembre et mars, et a un peu loupé son championnat de France. Il a ensuite effectué une belle tournée au Canada, mais le choix avait été fait avant. »
Jérome ELHAÏK.
CHAMPIONNAT EUROPE ÉQUIPES 2017
Benjamin AUBERT 1ÈRE sélection en équipe de France
La France équipe féminine en argent et masculine en OR contre l’Angleterre
Photographer: Petteri Repo
LES MACTHS EN DIRECT : http://www.squash.fi/live/
Photographer: Petteri Repo
(article Jérome ELHAÎK)
LES BLEU(E)S VEULENT CONQUÉRIR L’EUROPE – DEUXIÈME PARTIE
Divers 25/04
Le championnat d’Europe par équipes est un rendez-vous incontournable du printemps.
L’édition 2017 à Helsinki se résumera-t-elle, comme c’est le cas depuis plusieurs années, à un duel France – Angleterre ? Emmenés par un Grégory Gaultier dans une forme étincelante, et boostés par le retour en forme de Mathieu Castagnet, les hommes de Renan Lavigne peuvent espérer répéter leur performance d’il y a deux ans, contre des Britanniques qui enregistrent le retour de Nick Matthew. Un numéro 1 chasse l’autre chez leurs rivaux puisque Laura Massaro manquera à l’appel cette année. Camille Serme et les Bleues chercheront à surfer sur la vague de leur première médaille mondiale, mais elles auront néanmoins besoin d’un exploit en Finlande, contre une équipe qui compte quatre joueuses parmi les 16 meilleures mondiales… Alors que les hostilités commencent demain, voici la deuxième partie de notre présentation avec la compétition masculine.
Article de Jérôme Elhaïk
LES BLEUS, DEUX ANS APRÈS ?
Deux ans après leur premier sacre au Danemark, Renan Lavigne et ses hommes espèrent à nouveau chanter La Marseillaise à Helsinki (Crédit photo : http://www.youtube.com)
Comme nous vous le disions hier, la rivalité France – Angleterre est bien plus ancrée dans l’histoire chez les hommes que les femmes : depuis l’an 2000, les deux grandes nations du squash continental se sont retrouvées seize fois en finale en dix-sept éditions : en 2007, la France privée de Grégory Gaultier et Thierry Lincou blessés avait été battue en demi-finale par les Pays-Bas. L’actuel numéro 2 mondial présente la particularité d’avoir disputé les seize finales, dont évidemment celle de 2015 au Danemark, premier titre dans l’histoire des Bleus. Dans une forme exceptionnelle depuis le début de l’année civile (quatre tournois remportés et série en cours de dix-neuf matches sans défaite), le « French General » sera évidemment leur atout majeur à Helsinki cette semaine. « C’est bien sûr un gros avantage d’avoir un tel joueur dans l’équipe, confie l’entraîneur national Renan Lavigne. Mais au-delà de ses propres performances, j’espère que la confiance actuelle de Greg rejaillira sur toute l’équipe, et que ses coéquipiers augmenteront leur niveau d’exigence. »
“J’espère que la confiance actuelle de Grégory Gaultier rejaillira sur toute l’équipe.” Renan Lavigne, entraîneur national.
Quid du groupe de la France ? Comme son homologue Philippe Signoret, Lavigne indique « qu’on le connaissait à l’avance car les poules sont établies en fonction des résultats de l’année précédente. Ce qui soit dit en passant n’est pas toujours très judicieux car ça ne tient pas compte des changements au sein des équipes. La notre est composée de formations homogènes (Écosse, Finlande, République Tchèque), mais qui n’ont pas de numéro 1 très fort. On se méfie des Écossais, qui commencent à avoir une certaine expérience. » En terminant troisièmes l’an dernier, Alan Clyne et ses équipiers – « de vrais combattants » selon le numéro 2 Français Mathieu Castagnet – avaient décroché leur première médaille depuis 1994. « Le profil de l’autre poule est un peu différent, continue Lavigne. Il y a quatre leaders très forts (Nick Matthew, Simon Rosner, Borja Golan et Nicolas Mueller). On pourrait donc potentiellement assister à de très gros matches, même s’il arrive fréquemment que certains se déplument (sic) volontairement pour reposer leur numéro 1, par exemple contre l’Angleterre s’ils estiment qu’ils n’ont aucune chance de gagner. On a même déjà eu ce cas de figure en demi-finale ! Personnellement, ces calculs ne me dérangent pas, je suis totalement focalisé sur mon équipe. On prendra évidemment chaque rencontre au sérieux, tout en ne laissant rien au hasard. Si on en a la possibilité, on essaiera de faire tourner afin d’arriver au top pour une éventuelle finale contre l’Angleterre. » L’entraîneur national fait évidemment référence aux blessures de Mathieu Castagnet. Si en 2015, le natif de Saintes avait apporté une contribution décisive au sacre de son équipe malgré des soucis au dos, sa blessure aux adducteurs en poule l’avait mis sur la touche l’an dernier. Le début de longs mois de galère pour un Castagnet qui espère que « (sa) fraîcheur mentale et physique fera la différence en Finlande car je n’ai pas eu la même saison que les autres joueurs. Nous ne devrons négliger aucune équipe au cours de la compétition. Car dans le cas contraire, la conséquence peut être une baisse du niveau d’exigence et du coup une perte d’énergie. Et, on sait tous qu’on en aura besoin pour atteindre notre unique objectif : la médaille d’or. »
Malgré des soucis au dos, Mathieu avait joué un rôle déterminant dans le titre de 2015 (en haut), avant d’être privé de finale l’an dernier (Crédits photo : medias.lequipe.fr et EuroSquash2016)
Dans cette optique, le retour en forme de son numéro 2 est évidemment une très bonne nouvelle pour l’équipe de France. Avec notamment une victoire référence contre James Willstrop au British Open, un joueur qu’il pourrait retrouver samedi en finale … Les deux autres titulaires, Grégoire Marche et Lucas Serme sont également des habitués, puisqu’ils disputeront respectivement leur huitième et cinquième championnat d’Europe par équipes. « Le niveau entre les joueurs Français se resserre et c’est une très bonne chose, nous confiait récemment Grégory Gaultier. Pour aller loin dans une compétition, on a besoin d’une équipe homogène. J’ai remarqué que Lucas avait passé un cap récemment. Il est beaucoup plus solide qu’avant, je pense qu’il a compris pas mal de choses qui lui ont permis d’étoffer son jeu. » Au point de remporter son premier titre champion de France en février, en battant d’ailleurs Marche en finale. La forme actuelle de ses joueurs sera-t-elle suffisante pour faire tomber les Anglais ? « Une chose est sûre, indique Lavigne, quand je regarde les quatre matches d’une éventuelle finale, je me dis qu’ils peuvent tous aller dans les deux sens et que ça peut donner une rencontre très serrée. » Car dans les rangs adverses, Nick Matthew fait son retour après avoir manqué les deux dernières éditions. « Je suis ravi de retrouver la sélection, dont je n’ai plus fait partie depuis les Jeux du Commonwealth 2014 à cause des blessures,indique-t-il (Source : England squads announced ahead of European Senior Championships). Ça me manquait vraiment et j’ai hâte de retrouver les gars, notamment Declan James. Il me confiait récemment à quel point il avait hâte de faire ses débuts dans l’équipe. Je lui ai dit qu’il n’avait seulement besoin que d’une centaine de sélections pour nous rattraper James Willstrop et moi… En tous les cas, la France aligne une équipe très solide et il va falloir être forts pour conserver notre titre. »
Nick Matthew et Grégory Gaultier, qui s’étaient livrés une bataille dantesque en demi-finale du championnat du monde par équipes 2013 à Mulhouse, pourraient bien se retrouver en finale samedi (Crédit photo : www.squashmad.com)
Similitude entre les équipes de France masculine et féminine : tout en sélectionnant ses habituels titulaires, Renan Lavigne a apporté du sang neuf en faisant appel au jeune Benjamin Aubert (voir l’article Benjamin Aubert, le cinquième homme). « L’an dernier Geoffrey Demont était indiscutable, déclare-t-il, mais cette année il y avait plusieurs prétendants à cette cinquième place et aucun ne se dégageait franchement. Lancer un jeune de 19 ans est un choix fort, qui concerne à la fois le présent et l’avenir. Le fait qu’il ait remporté son premier tournoi à Annecy a évidemment compté dans mon choix. Il a accumulé quelques pépins physiques depuis son intégration au Pôle France, mais on est en train de faire un gros travail de réathlétisation en ce qui le concerne. C’est un garçon qui vit pour le squash, mais surtout qui « sent » le jeu. Il n’a évidemment pas l’expérience de ce genre de compétitions, mais c’était le moment de le lancer dans le grand bain. Ce sera intéressant de voir s’il peut augmenter son niveau d’exigence, notamment dans la préparation des matches. » Aubert – « un garçon que j’apprécie beaucoup, confie Gaultier,très curieux et vraiment à l’écoute » – est évidemment ravi de cette première cape, à laquelle il ne « s’attendait pas du tout au vu de ma saison. Je suis content de pouvoir représenter mon pays, mais je dois prouver que je mérite cette place, et ça me motive encore plus. »
Renan Lavigne a effectué un choix fort en faisant appel à Benjamin Aubert (Crédit photo : ffsquash)
LE MONDE EN LIGNE DE MIRE
Pour Renan Lavigne, ce championnat d’Europe est évidemment un gros objectif en soi, mais en toile de fond il y a également le championnat du monde. Il se déroulera en décembre à Marseille, quatre ans après la dernière édition à Mulhouse (celle de 2015 en Égypte avait été annulée pour des raisons de sécurité). Seulement quatre joueurs seront sélectionnés (les rencontres se disputent avec trois joueurs contre quatre en Europe), et « objectivement il y a 80 % de chance que ce soit Gaultier, Castagnet, Marche, et Serme, » indique Lavigne. « Mais on ne sait jamais ce qui peut se passer et les autres doivent avoir pour objectif de semer le doute dans mon esprit. Ou ne serait-ce qu’avoir la volonté de faire partie d’un groupe élargi pour le stage préparatoire à la compétition. »
Médaillés de bronze en 2013 à Mulhouse, Gaultier et les Bleus viseront encore plus haut à Marseille (Crédit photo : www.squashsite.co.uk)
Le message est donc clair pour Aubert et les autres prétendants, « les choses ne sont pas figées. Mon mode de fonctionnement évolue au fil des années. Les Anglais, ils ne s’embêtent pas, ils prennent tout simplement les joueurs les mieux classés en PSA. Mais ce n’est pas ma philosophie, j’accorde de l’importance à d’autres critères. Par exemple, en 2015 j’avais fait le fait le choix de prendre six joueurs, et je me souviens qu’un Baptiste Masotti avait joué un rôle très important dans la vie du groupe. Je le répète, cette année il y avait plusieurs prétendants à la place de remplaçant et ça s’est joué à peu de choses : Auguste Dussourd par exemple est celui qui a fait les meilleures perfs sur le circuit en battant deux fois le n°65 mondial, donc peut-être qu’il aurait été sélectionné s’il avait terminé troisième au championnat de France. Les réactions des intéressés à leur non-sélection ont d’ailleurs été assez diverses. Le constat, c’est que pour le moment tous ces joueurs ne parviennent pas à s’installer dans le top 100 mondial, et qu’ils doivent gagner en régularité. »
“Quand on a dans son équipe celui qui est actuellement le meilleur joueur au monde, c’est difficile de viser autre chose que l’or …”
Concernant le championnat du monde, Lavigne et les joueurs sont ravis qu’il se déroule à Marseille, « tout près de là où la plupart d’entre nous s’entraînent(au pôle France à Aix). On espère maintenant que l’évènement bénéficiera d’une belle promotion, car les gens ont parfois du mal à se mobiliser dans la région. » En attendant, tout sera fait pour amener les joueurs au top pour cette compétition, « ainsi que le championnat du monde individuel qui aura lieu dix jours après. Contrairement aux autres, Greg (Gaultier) ne disputera pas les Jeux Mondiaux (fin juillet à Varsovie), et reprendra la compétition tranquillement avec le championnat d’Europe individuel fin août. En ce qui concerne notre objectif, ce sera évidemment l’or, malgré la forte concurrence de l’Égypte et l’Angleterre, sans oublier d’autres nations comme Hong-Kong dont il faudra se méfier. Le championnat a lieu dans six mois, mais quand on a dans son équipe celui qui est actuellement le meilleur joueur au monde c’est difficile de viser autre chose … »
MODE D’EMPLOI
Poule A : [1] Angleterre, [4] Allemagne, [5] Espagne, [8] Suisse
Poule B : [2] France, [3] Écosse, [6] Finlande, [7] République Tchèque
— Programme complet sur Tournament Software
Les matches de poules se disputent mercredi et jeudi. Les deux premiers sont qualifiés pour les demi-finales (1er poule A-2ème poule B et 1er poule B-2ème poule A). Les demi-finales ont lieu vendredi et la finale samedi. Les équipes classées 7ème et 8ème sont reléguées en Division 2 (les 2 premiers de D2 accèdent en D1).
Matches à suivre en streaming gratuit sur Squash Finland
SOUVENIRS, SOUVENIRS
Revivez la finale hommes 2016 (à 4h45)
La compétition démarre demain avec à 11 heures France – Espagne (femmes) et à 16 heures France -République Tchèque (hommes).
CHAMPIONNAT EUROPE PAR EQUIPE MASCULINE
Découvrez la sélection avec un nouveau venu.
Le Championnat d’Europe par équipe se déroulera du 25 au 29 avril à Helsinki, en Finlande. Ce championnat se joue par équipe de quatre joueurs/joueuses. Cette semaine, nous vous dévoilons les sélections officielles. Après les femmes hier, place aux hommes !
La France accueillera le Championnat du Monde par équipe, à Marseille, en fin d’année. Ce Championnat d’Europe figure donc comme l’une des compétitions de référence avant ce Championnat du Monde à domicile. Il existe très peu de compétition par équipe. Ainsi, les tricolores vont pouvoir jauger leurs futurs adversaires européens. Habitués du podium depuis l’an 2000, l’Equipe de France masculine tentera de réitérer la performance de 2015 où ils étaient parvenus à battre les anglais en finale. C’est la seule année où l’Angleterre n’a pas été titrée depuis 1993… autant dire une éternité. Même si les anglais restent les favoris et les plus gros adversaires pour l’Equipe de France, il faudra également se méfier des allemands, des espagnols ou encore des écossais qui font figure d’outsiders.
Tout comme chez les femmes, les classements et performances des joueurs ont évolué d’une année sur l’autre. Avec un Grégory Gaultier qui rafle tout en ce moment et qui sera n°1 mondial au moment de la compétition, les tricolores pourront s’appuyer sur un leader de choix ! Derrière, il sera intéressant de voir Mathieu Castagnet qui semble avoir retrouvé ses moyens et de bonnes sensations après de longs mois d’absence. L’an passé, le natif de Saintes faisait partie intégrante du Top10 mondial. Aujourd’hui, il figure à la 19ème place mondiale. Cependant, il a démontré lors du dernier World Series qu’il était capable de jouer des joueurs du Top 10 mondial puisqu’il a battu un certain James Willstrop… alors n°6 mondial… et n°2 anglais. De son côté, Grégoire Marche a su montrer sa constance puisqu’il n’a pas bougé du Top30 mondial. On suivra également Lucas Serme, Champion de France en titre après avoir battu Grégoire Marche en finale. Cette équipe de France sera complétée par un nouveau venu… qui fêtera sa première sélection en Equipe de France senior.
La délégation sera donc composée de :
- Grégory Gaultier, n°1 mondial (AVRIL 2017)
- Grégoire Marche, n°25 mondial (AVRIL 2017)
- Mathieu Castagnet, n°26 mondial (AVRIL 2017)
- Lucas Serme, n°41 mondial (AVRIL 2017)
- Benjamin Aubert, n°150 mondial (AVRIL 2017)
Âgé de 19 ans, Benjamin Aubert fêtera sa première sélection en Equipe de France senior. Récemment, il a gagné son premier titre sur le circuit PSA. Le « benjamin » de l’équipe a réagi à cette première sélection :
« Ça fait 12 ans que j’ai commencé le squash et me voilà en Equipe de France, je ne m’attendais pas du tout à être sélectionné au vu de ma saison, je suis content de pouvoir représenter mon pays. Un autre objectif atteint mais je dois prouver que je mérite cette place donc ça me motive encore plus. »